« Belle et heureuse année à toutes et à tous avec bonheur, amour, santé, travail, partage.
Que la paix et la joie vivent en vos coeurs durant toute cette année 2020".
(Scarlett)
C'est en 1564, par l'édit de Charles IX, que le calendrier commença le premier janvier, institué par le Pape Grégoire XIII en 1582.
Auparavant, le premier jour de l'an était : le solstice d'hiver en Gaule, Noël sous Charlemagne, Pâques sous les Capétiens, l'Annonciation au 13e siècle, puis le 1er avril.
BONNE ANNEE ! BONNE SANTE !
A Minuit, instant zéro, on fait éclater sa joie. Traditionnellement, le bruit chasse le MAL ; d'où explosion de cris, de klaxons et de pétards, ou de feux d'artifice.
Dedans ou dehors, on trinque, on échange sourires et bons voeux. C'est la période des étrennes, du latin "strena" : cadeau de bon augure !
Les Romains, qui avaient une déesse nommée "Strenia", s'offraient des dates et des figues trempées dans du miel, des rameaux de verveine...
Du temps des rois de France, les présents étaient somptueux à la cour ; ils devinrent plus simples : quêtes des enfants dans les villages, petits cadeaux... On offre maintenant aux pompiers, facteurs, éboueurs, gardiens...
"Nuit de nouvel an sereine, signe d'une année pleine"
"Au nouvel an, étrennes aux enfants"
Des voeux pour le Nouvel An
Une longue histoire...
Invention chinoise, la carte de voeux proportionnelle au rang du destinataire ! Au Moyen Age, l'image pieuse régnait. La coutume est revenue par les pays anglo-saxons.
"Qui s'enivre le jour de l'an, toute l'année s'en ressent"
Au gui l'an neuf !
"Aguilé", "aguilneuf", "guillaneu" : c'est une vieille coutume. Le gui ("viscum") était une plante sacrée symbole d'immortalité, ayant des vertus magiques et thérapeutiques. Sa cueillette était une fête gauloise où les druides coupaient avec une serpe d'or, la sixième lune suivant le solstice d'hiver : la nuit mère qui célébrait le début de l'année des gaulois.
Depuis, on orne de gui l'entrée des maisons, des étables, des fermes comme porte-bonheur pour la nouvelle année.
Le jour de l'an :
Orthodoxe : Autour du 13 janvier, selon le calendrier julien.
Juif : 1er Tishri ("Rosh-ba-Shana"), célébré en septembre-octobre ; le premier jour est la création du monde.
Musulman : 1er moherrom lunaire ("ras-el-am) ; le premier jour de l'Hégire précède la fuite de Mahomet à Médine, le 16 juillet 622.
Chinois : 1er jour de l'ancienne dynastie, en 2697 avant Jésus-Christ ; le Nouvel an chinois est fêté en février avec beaucoup de bruit et de couleur pour chasser le mal.
"Il faut faire des crêpes au premier de l'an pour être riche tout l'an"
Mais aussi :
"Manger des lentilles au premier janvier apporte de l'argent toute l'année"
"An nouveau, tout est beau"
Que la paix et la joie vivent en vos coeurs durant toute cette année 2020".
(Scarlett)
C'est en 1564, par l'édit de Charles IX, que le calendrier commença le premier janvier, institué par le Pape Grégoire XIII en 1582.
Auparavant, le premier jour de l'an était : le solstice d'hiver en Gaule, Noël sous Charlemagne, Pâques sous les Capétiens, l'Annonciation au 13e siècle, puis le 1er avril.
BONNE ANNEE ! BONNE SANTE !
A Minuit, instant zéro, on fait éclater sa joie. Traditionnellement, le bruit chasse le MAL ; d'où explosion de cris, de klaxons et de pétards, ou de feux d'artifice.
Dedans ou dehors, on trinque, on échange sourires et bons voeux. C'est la période des étrennes, du latin "strena" : cadeau de bon augure !
Les Romains, qui avaient une déesse nommée "Strenia", s'offraient des dates et des figues trempées dans du miel, des rameaux de verveine...
Du temps des rois de France, les présents étaient somptueux à la cour ; ils devinrent plus simples : quêtes des enfants dans les villages, petits cadeaux... On offre maintenant aux pompiers, facteurs, éboueurs, gardiens...
"Nuit de nouvel an sereine, signe d'une année pleine"
"Au nouvel an, étrennes aux enfants"
Des voeux pour le Nouvel An
Une longue histoire...
Invention chinoise, la carte de voeux proportionnelle au rang du destinataire ! Au Moyen Age, l'image pieuse régnait. La coutume est revenue par les pays anglo-saxons.
"Qui s'enivre le jour de l'an, toute l'année s'en ressent"
Au gui l'an neuf !
"Aguilé", "aguilneuf", "guillaneu" : c'est une vieille coutume. Le gui ("viscum") était une plante sacrée symbole d'immortalité, ayant des vertus magiques et thérapeutiques. Sa cueillette était une fête gauloise où les druides coupaient avec une serpe d'or, la sixième lune suivant le solstice d'hiver : la nuit mère qui célébrait le début de l'année des gaulois.
Depuis, on orne de gui l'entrée des maisons, des étables, des fermes comme porte-bonheur pour la nouvelle année.
Le jour de l'an :
Orthodoxe : Autour du 13 janvier, selon le calendrier julien.
Juif : 1er Tishri ("Rosh-ba-Shana"), célébré en septembre-octobre ; le premier jour est la création du monde.
Musulman : 1er moherrom lunaire ("ras-el-am) ; le premier jour de l'Hégire précède la fuite de Mahomet à Médine, le 16 juillet 622.
Chinois : 1er jour de l'ancienne dynastie, en 2697 avant Jésus-Christ ; le Nouvel an chinois est fêté en février avec beaucoup de bruit et de couleur pour chasser le mal.
"Il faut faire des crêpes au premier de l'an pour être riche tout l'an"
Mais aussi :
"Manger des lentilles au premier janvier apporte de l'argent toute l'année"
"An nouveau, tout est beau"