Seigneur, faîtes de moi un instrument de paix
Là où est la haine, que je mette l'amour
Là où est l'offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l'union.
Là où est l'erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
Faites, Seigneur, que je ne cherche pas tant
D'être consolé que de consoler,
D'être compris que de comprendre,
D'être aimer que d'aimer.
Parce que c'est en se donnant que l'on reçoit,
En s'oubliant soi-même que l'on se trouve,
En pardonnant que l'on obtient le pardon,
En mourant que l'on ressuscite à l'Eternelle Vie.
(Saint François d'Assise)
Je continuerai à croire,
même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à construire,
même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix,
même au milieu d'une guerre.
Je dessinerai des sourires,
sur des visages en larmes.
Et je tendrai les bras,
à ceux qui se sentent épuisés.
(Abbé Pierre)
Là où est la haine, que je mette l'amour
Là où est l'offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l'union.
Là où est l'erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
Faites, Seigneur, que je ne cherche pas tant
D'être consolé que de consoler,
D'être compris que de comprendre,
D'être aimer que d'aimer.
Parce que c'est en se donnant que l'on reçoit,
En s'oubliant soi-même que l'on se trouve,
En pardonnant que l'on obtient le pardon,
En mourant que l'on ressuscite à l'Eternelle Vie.
(Saint François d'Assise)
Je continuerai à croire,
même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à construire,
même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix,
même au milieu d'une guerre.
Je dessinerai des sourires,
sur des visages en larmes.
Et je tendrai les bras,
à ceux qui se sentent épuisés.
(Abbé Pierre)